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Comment éliminer l’aluminium des vaccins ?
- Vous vous interrogez sur l’innocuité des vaccins et des adjuvants présents dans les vaccins;
- Vous avez eu des problèmes de santé après avoir effectué un ou plusieurs vaccins;
- Vous souhaitez continuer à vous vacciner mais vous désirez éviter toute complication qui pourrait survenir après une vaccination;
- Et si vous en appreniez un peu plus sur l’aluminium présent dans les vaccins et sur la façon dont il est possible d’éliminer l’aluminium de votre corps après avoir subi une vaccination ?
Les vaccins ont montré leur efficacité au cours des siècles. Ils ont permis d’éradiquer de nombreuses maladies et ont sauvé la vie de millions de personnes. Mais l’adjuvant que contient désormais la majorité des vaccins, à savoir l’aluminium, peut causer des problèmes de santé chez de nombreuses personnes.
On peut dès lors se poser des questions sur l’innocuité des vaccins, en particulier sur l’innocuité de l’aluminium présent dans les vaccins, sans pour autant être un farouche opposant aux vaccins.
Et décider de mettre de l’aluminium, un adjuvant considéré par beaucoup de spécialistes comme neurotoxique, me semble aberrant lorsque l’on souhaite protéger la santé du plus grand nombre. L’aluminium est notamment responsable d’une nouvelle maladie, appelée la myofasciite à macrophages.
Témoignages détoxification des métaux lourds
La myofasciite à macrophages : la maladie des vaccins
La myofasciite à macrophages est une maladie qui est induite par l’hydroxide d’aluminium utilisé comme adjuvant dans de nombreux vaccins.
Il s’agit d’une maladie réellement invalidante. Les malades vont ressentir une fatigue intense, des douleurs musculaires ou articulaires, des troubles cognitifs, notamment des problèmes de mémoire ou de concentration, des migraines, de l’électrosensibilité.
C’est une maladie qui est difficile à diagnostiquer en raison du fait que le corps médical, en particulier les médecins généralistes ou de famille, ne connaît pas réellement cette maladie et aura tendance à expliquer à leurs patients que les symptômes qu’ils ressentent sont psychologiques ou psychosomatiques. Pour cette raison, les médecins enverront fréquemment ces patients chez des psychologues ou des psychiatres et passeront dès lors souvent à côté de cette pathologie.
Un centre en France dédié à cette pathologie
Le seul centre médical à l’heure actuelle qui connaît bien cette maladie et qui la diagnostique est l’hôpital Henri Mondor à Paris. Les médecins de ce centre vont procéder à une biopsie dans le bras, à l’endroit où sont effectués les vaccins, et vont rechercher des traces d’aluminium dans les tissus du bras du patient.
Le nombre de patients diagnostiqués pour la maladie de la myofasciite à macrophages à Henri Mondor est d’un peu près 600 depuis la découverte de cette maladie. Il s’agit bien entendu de l’activité d’un seul centre et on peut imaginer très aisément qu’il pourrait y avoir plus de 10’000 personnes atteintes de cette maladie en France.
Le danger de l’aluminium : débats dès la fin du 19ème siècle
Des médecins et des chercheurs vont évoquer leur doute par rapport à l’innocuité de l’aluminium dès la fin du 19ème siècle, d’abord avec les ustensiles de cuisine, puis avec l’aluminium utilisé dans l’alimentation, notamment dans les levures chimiques.
Il va s’en suivre une guerre entre les industriels et de nombreux procès vont émerger en lien avec l’innocuité des levures chimiques. Cela va permettre de faire émerger cette controverse dans le champ public. La bataille entre les pour et les anti aluminium est cependant relativement déséquilibrée car ceux qui défendent l’aluminium et les levures chimiques disposent de beaucoup plus de moyens financiers.
La science s’oppose dès lors à l’industrie pour régler ces questions d’innocuité de l’aluminium ou d’autres produits controversés. Le problème, c’est que l’on impose souvent à la science des preuves très fortes de la dangerosité d’un produit avant de pouvoir prendre une décision d’interdiction, preuve qu’elle ne peut souvent pas apporter.
Ces niveaux de preuves doivent être généralement bien plus importantes que celles qui sont imposées pour la mise sur le marché d’un produit. Par exemple, l’industrie du tabac ou des pesticides a brandi cette notion de doute qui leur a permis de tenir de nombreuses années sans être inquiétées. Il aura fallu attendre que des personnes tombent malades ou décèdent pour que les choses commencent à bouger.
L’aluminium dans les vaccins : l’étude sur 2 lapins
L’étude qui fait référence et qui a pour but de démontrer que l’aluminium des vaccins est évacué par le corps a été faite sur 2 lapins et date de 1997. Cette étude a été faite par un chercheur américain du nom de Flarend.
Cette étude a consisté à injecter un aluminium radioactif par voie intramusculaire à 2 lapins et avait pour but de regarder ce qu’allait devenir l’aluminium injecté. Le chercheur a analysé le taux d’élimination d’aluminium dans les urines des lapins après 28 jours. Et le chercheur a constaté que seulement 6 % de l’aluminium était éliminé par les urines. Cela contredit dès lors radicalement les théories de beaucoup de médecins qui prétendent que l’aluminium est éliminé complètement en quelques jours.
De plus, cette étude est incomplète car les 2 fémurs des lapins et un cerveau d’un des animaux ont été perdus ou détruits. Il n’est dès lors pas possible de se baser sur une telle étude, puisque l’on sait que l’aluminium se stocke de manière durable dans les os et dans le cerveau.
Des études auraient dès lors dû être refaites sur des animaux puis sur l’homme pour vérifier que l’aluminium des vaccins est bien évacué rapidement et complètement du corps. Pourtant, rien n’a été refait et la plupart des médecins ou des politiques continuent de dire que l’aluminium des vaccins s’évacue du corps en quelques jours sans pour autant pouvoir se baser sur des études qui tiennent la route.
L’aluminium pourrait causer de nombreux problèmes de santé
Chris Exley, professeur en chimie bio-inorganique et spécialiste de la question de l’aluminium à l’Université de Keele, explique qu’il n’y a jamais eu d’études qui ont été faites démontrant que l’aluminium ne cause pas de problèmes quand il est introduit dans le corps humain.
Le chercheur explique que « l’aluminium a cette incroyable capacité à retourner le corps contre des choses qu’il aurait normalement considérées comme siennes ». C’est pour cette raison qu’il ne serait pas surpris que l’aluminium puisse avoir un lien avec la sclérose en plaques.
Chris Exley précise encore qu’il ne peut démontrer que l’aluminium est la cause de la maladie d’Alzheimer, mais qu’il est en revanche certain que l’aluminium fait empirer la maladie d’Alzheimer ou la fait apparaître plus tôt.
Le chercheur précise encore que le vaccin demande une autorisation clinique pour être mis sur le marché alors que l’adjuvant n’a pas besoin d’une telle autorisation. La totalité du produit n’est dès lors pas examinée. Donc, si l’adjuvant contient un risque ou un danger, rien ne permettra de le déceler.
Pourquoi mettre des sels d’aluminium dans les vaccins ?
L’institut pasteur utilisait du phosphate de calcium comme adjuvant dans les années 1970. Cet adjuvant était tout aussi efficace que les sels d’aluminium. Dans les années 1980 – 1990, les différents laboratoires commercialisant les vaccins ont choisi de passer aux sels d’aluminium. Ils ont décidé de laisser tomber le phosphate de calcium pour des raisons financières. Cela leur permettait en effet de dégager plus de marges sur les vaccins. Ils ont dès lors privilégié l’argent à la santé de la population.
On peut aussi se demander pourquoi on met des sels d’aluminium en grande quantité dans les vaccins alors qu’on les a retirés depuis quelques années dans la plupart des cosmétiques, en particulier dans les déodorants. Il a en effet été démontré que les sels d’aluminium dans les déodorants pouvaient provoquer des problèmes de santé, en particulier des cancers. Donc comment expliquer que l’on continue d’injecter au patient des vaccins avec des sels d’aluminium?
On pourrait donc sans problème revenir au phosphate de calcium et avoir ainsi des vaccins qui ne provoqueraient pas de problèmes de santé. Mais les industriels et les grandes pharmas ne l’entendent pas de cette oreille car les vaccins avec sels d’aluminium sont plus rentables pour eux et ils ne sont pas prêts à renoncer à leurs bénéfices pour protéger la santé publique.
Pourquoi certaines personnes n’arrivent pas à éliminer l’aluminium des vaccins ?
- Des facteurs génétiques : avec l’augmentation croissante du nombre de vaccins à effectuer, de plus en plus de personnes vont rencontrer des problèmes car le corps n’arrivera plus à effectuer son travail d’élimination et de détoxification. A l’avenir, cette maladie risque dès lors de ne plus toucher seulement les personnes qui ont des facteurs génétiques de risque.
- Une immunité déficiente
- Certains organes ont plus de mal à effectuer leur travail d’élimination et de détoxification : comme par exemple le foie, très important pour la détoxification des produits chimiques ou des métaux lourds.
Pourquoi se faire tester pour savoir si on est atteint d’une myofasciite à macrophages ?
- Il peut être important de connaître de quoi l’on souffre, de mettre le nom d’une maladie sur nos symptômes, d’apprendre que nos maux ne sont pas dans notre tête. Cette maladie est en effet peu connue des médecins et ils ont souvent tendance à penser que les maux de leurs patients sont psychologiques ou psychosomatiques.
- Cela peut aussi être important de savoir que l’on a une « intolérance » à l’aluminium. Cela va permettre en effet d’éviter à l’avenir de se faire injecter des vaccins contenant de l’aluminium, ceci dans le but de ne pas aggraver son état de santé.
- Cela vous donnera plus de chance d’obtenir une aide-invalidité. En France, les personnes doivent se rendre en justice pour faire reconnaître cette pathologie et pour ensuite recevoir une aide de l’état. En Suisse, je n’ai pas la connaissance de personnes atteintes de myofasciite à macrophages ayant obtenu une rente d’invalidité. Mais je pense que ces personnes pourraient invoquer la jurisprudence française pour obtenir une indemnisation de l’assurance-invalidité.
Malheureusement, lorsque l’on obtient un diagnostic pour cette pathologie, tout n’est pas résolu, puisqu’à l’heure actuelle, il n’existe pas de traitements médicaux qui permettent de guérir cette maladie. Il n’est proposé pour l’instant dans le centre qui diagnostique cette maladie que des médicaments qui permettent d’apaiser les douleurs physiques et/ou psychologiques.
Les limites du test qui permet de savoir si vous êtes atteint de la myofasciite à macrophages ?
A mon sens, les limites du test qui permet de diagnostiquer la myofasciite à macrophages est que ce dépistage ne concerne que l’aluminium. Une biopsie va être pratiquée dans le bras, à l’endroit où sont faits les vaccins. Si la personne n’a pas réussi à éliminer l’aluminium des vaccins, on retrouvera forcément des traces d’aluminium dans son bras.
L’aluminium peut faire de gros dégâts, comme provoquer des douleurs musculaires ou articulaires, une grande fatigue, des troubles de la mémoire ou de la concentration. Mais d’autres métaux peuvent faire également de gros dégâts, comme le mercure, que l’on peut trouver dans les amalgames dentaires ou dans les gros poissons.
De ce que j’ai compris du dépistage de la myofasciite à macrophages, des traces de mercure ou d’autres métaux ne seront pas recherchées. De plus, pour le mercure, s’il y en a dans le corps, on a certainement plus de chance d’en retrouver dans les os des mâchoires que dans les bras.
D’autres métaux peuvent aussi poser de gros problèmes de santé, comme par exemple le plomb ou le cadmium qui sont notamment présents dans les cigarettes.
Quels vaccins contiennent de l’aluminium ?
- Diphtérie ;
- Tétanos ;
- Poliomyélite ;
- Haemophilius influenzae B (bactérie provoquant notamment des pneumopathies et des méningites) ;
- Coqueluche ;
- Hépatite A ;
- Hépatite B ;
- Méningocoque C (bactérie provoquant des méningites) ;
- Pneumocoque (bactérie provoquant notamment des pneumopathies et des méningites) ;
- Papillomavirus (HPV) ;
- Méningo-encéphalite à tiques;
- Encéphalite japonaise.
Quels sont les vaccins sans aluminium ?
- ROR (rougeole, oreillons, rubéole) ;
- BCG (contre la tuberculose);
- Fièvre jaune;
- Herpès zoster (contre le zona);
- Grippe;
- Vaccin contre la Covid 19 avec messager ARN du groupe Pfizer biontech;
- Vaccin contre la Covid 19 avec messager ARN du groupe Moderna;
- Vaccin contre la Covid 19 à adénovirus d’Astrazeneca;
- Vaccin contre la Covid 19 à adénovirus de Johnson & Johnson.
En France, 11 vaccins sont obligatoires pour les enfants depuis le 1er janvier 2018. Sur ces 11 vaccins, 8 contiennent de l’aluminium. Compte tenu du fait que de plus en plus de personnes développent des douleurs ou des problèmes de santé un certain nombre d’années après avoir effectué des vaccins qui contiennent des sels d’aluminium, on peut s’interroger sur les conséquences futures d’une telle obligation vaccinale.
En Suisse, la vaccination n’est pas obligatoire, mais elle est très fortement recommandée. Mais la question de l’obligation vaccinale se posera forcément à l’avenir, compte tenu du fait que de plus en plus de personnes ne souhaitent plus se faire vacciner car elles se posent des questions sur l’innocuité des vaccins, en particulier sur l’innocuité des sels d’aluminium présents dans les vaccins.
Les vaccins avec messager ARN contre la Covid 19
Dans les vaccins « traditionnels », on injecte des virus inactivés en laboratoire ou des protéines provenant de la coque protectrice du virus.
Dans le cas des vaccins avec messager ARN, on administre non pas la matière virale mais de petits acides ribonucléiques (ARN) qui contiennent le code génétique d’une protéine virale. Ces ARN sont complètement synthétiques et ne proviennent dès lors pas du virus.
Une fois que ces ARN synthétiques ont pénétré à l’intérieur des cellules, ils sont pris en charge comme n’importe quel autre ARN naturel. Les cellules vont pouvoir ainsi fabriquer la protéine virale, ce qui donnera à l’organisme un aperçu lors d’une éventuelle rencontre avec le nouveau coronavirus SARS-CoV.2.
Cette nouvelle technologie est révolutionnaire et semble prometteuse. Cependant, beaucoup de personnes se posent des questions sur les effets secondaires potentiels à court, moyen ou long terme de tels vaccins. L’innocuité et la sécurité de ces vaccins devront dès lors être observées très attentivement par les professionnels de la santé afin de rassurer la population et de la convaincre de se vacciner avec cette nouvelle technologie.
Que contiennent les vaccins avec messager ARN contre le Covid 19 ?
Le vaccin avec messager ARN de Pfizer bioNtech est composé de :
-
ARN messager
L’ARN messager (une séquence génétique du coronavirus) va être injecté à l’intérieur de la cellule humaine. Cette cellule va utiliser l’ARN messager pour produire la protéine virale associée (la protéine Spike) qui va faire réagir le système immunitaire.
Les vaccins avec messager ARN ont donc le même objectif que les vaccins traditionnels, à savoir provoquer une réponse immunitaire pour que l’organisme puisse se défendre.
-
Les lipides
L’ARN messager va être encapsulé par des nanoparticules lipidiques afin de le protéger. L’ARN messager ne peut en effet être introduit sans protection dans un organisme humain, sous peine de destruction quasi-immédiate.
Parmi ces lipides, on trouve des substances lipidiques aux noms barbares :
- 4-hydroxybutyl)azanediyl)bis(hexane-6,1-diyl)bis(2-hexyldecanoate)
- 2[(polyethylene-glycol)-2000]-N
- N-ditetradecylacetamide
- 1,2-Distearoyl-sn-glycero-3- phosphocholine
- Cholestérol
-
Les sels
Le vaccin Pfizer BioNtech contient quatre sels différents : le chlorure de sodium, le chlorure de potassium, le phosphate monobasique de potassium et le phosphate dibasique de sodium dihydraté.
Le sel permet d’équilibrer le pH pour qu’il se rapproche du pH du corps humain. Il sert à éviter au vaccin de se dégrader trop rapidement.
-
Le sucre
Le sucre est utilisé comme moyen de conservation du vaccin.
-
L’eau
L’eau sert à lier les éléments qui entrent dans la composition du vaccin
Les nanoparticules dans les vaccins avec messager ARN contre le covid 19
Comme indiqué plus haut dans cet article, le vaccin avec messager ARN contre le covid 19 contient des nanoparticules qui servent à encapsuler le messager ARN et permettent ainsi de ne pas le détruire.
Pourtant, on nous parle depuis plusieurs années du danger des nanoparticules pour la santé humaine. Dès lors, est-ce que les nanoparticules qui sont présentes dans le vaccin de Pfizer BioNtech ou dans d’autres vaccins avec messager ARN ne présentent réellement aucun danger pour notre santé ?
Pour répondre à cette question, il est tout d’abord important d’expliquer ce que sont les nanoparticules.
Les nanoparticules sont des éléments ayant une taille nanométrique, entre 1 et 100 nanomètres (1 nanomètre est 1000 millions de fois plus petit qu’un mètre). L’échelle est de l’ordre des molécules.
Elles sont utilisées dans tous les domaines depuis les années 90 et sont de plus en plus présentes dans notre quotidien (cosmétiques, peinture, électronique, informatique…).
On peut distinguer 3 types de nanoparticules :
- Les nanoparticules d’origine naturelle, issues par exemple de feux de forêt ou de fumées volcaniques ;
- Les nanoparticules non intentionnelles, issues de procédés de combustions, comme celles qui sont rejetées par les moteurs diesel ou les fumées de soudage ;
- Les nanoparticules intentionnelles/manufacturées : fabriquées pour les nouvelles propriétés, comme par exemple le dioxyde de titane utilisé dans l’industrie alimentaire pour donner de la brillance aux bonbons.
Les nanoparticules soulèvent des controverses depuis plusieurs années. Beaucoup de spécialistes indiquent qu’elles pourraient causer des problèmes de santé chez l’homme. Certaines études ont notamment démontré que des nanoparticules de métal, comme le dioxyde de titane, de cuivre ou l’oxyde de zinc pourraient parvenir jusqu’au cerveau et entraîner des problèmes cognitifs.
Les spécialistes des vaccins avec messager ARN expliquent que les nanoparticules sont injectées en quantité relativement faibles et ont été conçues pour se dégrader rapidement. Ils n’auraient ainsi pas le temps de provoquer des dégâts dans le corps.
De plus, ces spécialistes indiquent que les nanoparticules injectées ne sont pas des nanoparticules de métal, mais des nanoparticules lipidiques. Ils expliquent que celles-ci sont complètement naturelles puisque nos cellules sont toutes entourées de lipides.
On peut quand même se poser la question de savoir si ces nanoparticules seront évacuées par notre corps et au bout de combien de temps. Et est-ce que les fabricants de ces vaccins et les autorités en charge de la vaccination vont pratiquer de telles analyses pour répondre à ces questions?
Car ces derniers nous ont assuré que l’aluminium était complètement évacué du corps quelques jours après une vaccination et que l’aluminium vaccinal ne présentait dès lors aucun risque pour la santé. De telles allégations ont cependant été contestées par beaucoup de spécialistes des vaccins, notamment par le Pr. Gherardi.
Pas d’aluminium dans les vaccins avec messager ARN contre le Covid 19
L’avantage incontestable de cette technologie est qu’elle ne demande pas d’adjuvants pour augmenter la réponse immunitaire. Ces nouveaux vaccins avec messager ARN de la société Pfizer ou Moderna ne contiennent dès lors pas d’aluminium.
C’est une excellente nouvelle pour les personnes qui ont contracté une myofasciite à macrophages ou qui ont eu des effets secondaires ou des troubles importants après avoir subi une vaccination contenant des sels d’aluminium.
Lorsque l’on sait que les autorités ne proposeront pas de vaccins sans sels d’aluminium dans un avenir proche, ces vaccins avec ARN messager peuvent être une bonne alternative pour les personnes qui souhaitent tout de même se vacciner mais qui ne souhaitent pas se faire injecter des sels d’aluminium dans le corps.
En France, il avait en effet été demandé au candidat François Hollande qu’il mette à disposition des vaccins sans aluminium pour les personnes qui le souhaitent s’il était élu président de la république.
Ce dernier avait accepté cette demande et s’était engagé, par le biais de sa ministre de la santé, à fournir de tels vaccins. Le président François Hollande n’a cependant pas tenu sa promesse et des vaccins sans sels d’aluminium ne sont toujours pas proposés en France.
En Suisse, cette question n’a même pas été discutée car il n’y a pas une association en Suisse, comme il en existe une en France, qui se bat contre l’aluminium présent dans les vaccins.
Si cette technologie des vaccins avec messager ARN tient toutes ses promesses et ne présente pas d’effets secondaires sur le court, moyen et le long terme, on peut imaginer qu’elle pourrait être utilisée pour d’autres vaccins et que l’on pourrait ainsi se débarrasser des vaccins avec des sels d’aluminium qui causent beaucoup de problèmes de santé.
Les vaccins à adénovirus contre la Covid 19
Les vaccins à adénovirus, que l’on appelle aussi vaccins à vecteur viral, emploient un virus non pathogène afin de provoquer une réponse immunitaire.
Qu’est qu’un adénovirus ?
Un adénovirus est un virus qui n’a pas d’enveloppe mais un génome à ADN protégé par une capsule constituée de griffes qui permettent de s’attacher aux cellules avant de les infecter.
Comment fonctionne un vaccin à adénovirus ?
Un vaccin à vecteur adénovirus utilise un virus vivant, mais qui est rendu inoffensif pour l’homme, pour transporter une partie précise de l’ADN d’autres virus, dans notre cas celui du SARS-CoV-2 , dans les cellules afin de déclencher une réponse immunitaire contre le SARS-CoV-2.
Les vaccins à adénovirus contre la Covid 19 apportent dès lors les instructions génétiques permettant de construire la protéine Spike du SARS-CoV-2 au sein des cellules de la personne vaccinée.
C’est ainsi l’organisme lui-même qui fabrique la protéine ennemie afin que le système immunitaire la repère et apprenne à la combattre. Il s’agit dès lors d’un procédé relativement similaire à celui des vaccins ARN.
La différence est que pour les vaccins ARN, les instructions sont codées sous forme d’ARN alors que pour les vaccins à adénovirus les instructions sont codées sous forme d’ADN.
Le vaccin Astrazeneca
Pour composer ce vaccin recombinant, un virus de chimpanzé (adénovirus) a été modifié génétiquement afin d’y intégrer une petite partie du virus du SARS-CoV-2 permettant de développer une réponse immunitaire contre la Covid 19.
Il s’agit du premier vaccin à adénovirus autorisé en Europe et dans d’autres pays. Il est utilisé en France mais n’est cependant pas utilisé en Suisse pour l’instant (en mars 2021).
Que contient le vaccin Astrazeneca
- Antigène
Une dose (0,5 mL) en contient :
- Vaccin COVID-19 (ChAdOx1-S* recombinant) 5 × 1010 particules virales (vp)
*Vecteur adénoviral de chimpanzé recombinant, à réplication déficiente, codant la glycoprotéine Spike (protéine S) du coronavirus SARS-CoV-2. Produit dans des cellules de rein embryonnaire humain (HEK) 293 génétiquement modifiées.
Ce produit contient des organismes génétiquement modifiés (OGM).
- Excipients
- L-Histidine
- Chlorhydrate de L-histidine monohydraté
- Chlorure de magnésium hexahydraté
- Polysorbate 80
- Éthanol (2 mg dans une dose)
- Sucrose (synonyme : saccharose)
- Chlorure de sodium
- Édétate de disodium dihydraté
- Eau pour préparation injectable
Pas d’aluminium dans les vaccins Astrazeneca
Les vaccins Astrazeneca ne contiennent pas d’adjuvants. Ils ne contiennent dès lors pas d’aluminium. Il s’agit d’une bonne nouvelle pour les personnes qui souffrent de la myofasciite à macrophages ou qui ne souhaitent pas être vaccinées avec des produits contenant de l’aluminium.
Pourtant ce vaccin ne fait pour l’instant pas l’unanimité au sein de la population. Ces vaccins sont jugés moins efficaces que les vaccins à ARN messager et sont surtout suspectés de provoquer des thromboses dans de rares cas.
Les vaccins Johnson & Johnson
Il s’agit de vaccins à adénovirus humain. Ils sont du même type que les vaccins Astrazeneca. La différence entre ces 2 vaccins est que le vaccin Johnson & Johnson est utilisé à partir d’un adénovirus humain alors que le vaccin Astrazeneca est utilisé à partir d’un adénovirus de chimpanzé.
Il s’agit du 2ème vaccin à adénovirus autorisé en Europe et dans d’autres pays pour lutter contre le coronavirus. Il sera utilisé dès avril 2021 en France et dans beaucoup d’autres pays. La Suisse a pour l’instant décidé de ne pas utiliser le vaccin Johnson & Johnson, préférant pour l’instant utiliser les vaccins de type ARN messager.
Les vaccins Johnson &Johnson n’utilisent également pas d’adjuvants et donc pas d’aluminium. C’est dès lors également une bonne nouvelle pour les personnes souffrant de myofasciite à macrophages ou qui ne souhaitent pas être vaccinées avec des produits contenant de l’aluminium.
Lien entre électrosensibilité et vaccins avec aluminium
Une des principales raisons qui peut expliquer que certaines personnes soient devenues électrosensibles est qu’elles ont trop de métaux lourds dans le corps. En effet, si nous avons des métaux lourds dans notre corps ou dans notre cerveau, ils vont servir de relais avec l’électricité, les ondes hautes fréquences (les antennes relais, le wifi, les téléphones portables, …), en formant des micro-antennes. En conséquence, le corps ne va plus pouvoir réagir normalement et va être fortement perturbé.
Le fait que de plus en plus de personnes soient devenues électrosensibles n’est pas si étonnant, compte tenu du fait que notre corps est de plus en plus saturé de métaux lourds, notamment avec les nombreux vaccins avec sels d’aluminium que nous effectuons tout au long de notre vie.
Certaines personnes vont arriver à éliminer l’aluminium des vaccins de manière naturelle, mais d’autres ne vont pas réussir à évacuer ces métaux lourds du corps. Cela peut s’expliquer notamment par le fait qu’elles ont une moins bonne immunité ou qu’elles ont un foie qui a plus de difficultés à effectuer son travail de détoxification des produits chimiques présents dans le corps, comme par exemple l’aluminium présent dans les vaccins.
Les principaux pays, comme par exemple la Suisse ou la France, ne reconnaissent pas l’électrosensibilité comme une maladie et n’indemnisent dès lors pas les personnes qui sont atteintes de cette pathologie.
Pourtant, de plus en plus d’experts expliquent que l’électrosensibilité est une réelle pathologie et qu’elle est causée par un trop plein de métaux lourds dans le corps.
Les personnes électrosensibles sont dès lors tombées malades suite notamment à des vaccinations (avec aluminium) conseillées ou imposées par les états, vaccinations qu’ils considèrent, à tort à mon sens, comme inoffensives et sûres.
Les politiques auraient tout intérêt à réellement se documenter sur la question des vaccins contenant de l’aluminium. Car avec les nouvelles technologies comme la 5G, de plus en plus de personnes vont devenir électrosensibles. Cette pathologie pourrait être largement limitée si les personnes en charge de la santé publique proposaient des vaccins sans sels d’aluminium.
Certains responsables politiques, comme par exemple le président français Emmanuel Macron, refuse de s’interroger sur les raisons qui amènent 5-10 % de la population à devenir électrosensible. Il préfère au contraire dans une conférence ironiser sur le fait que nous ne sommes plus au temps de la lampe à huile et des Amish et que pour cette raison, il est impératif de déployer la technologie 5G.
Les métaux lourds dans les vaccins
Les vaccins contiennent de l’aluminium, comme cela a été indiqué tout au long de cet article. Mais est-ce que les vaccins contiennent d’autres métaux lourds ? La réponse est oui.
Les vaccins contiennent notamment du thiomersal qui est un dérivé de mercure. Ce produit est ajouté à certains vaccins pour mieux les conserver. Le thiomersal a été introduit dans les vaccins depuis une cinquantaine d’années pour limiter le risque de contamination bactérienne et fongique.
Le thiomersal est actuellement présent dans les vaccins contre la grippe, contre l’hépatite B, le tétanos, la diphtérie. Il n’est en revanche pas présent dans les vaccins vivants comme le ROR (rougeole – oreillon – rubéole), le BCG, ..
Les autorités de santé expliquent que ce dérivé du mercure ne pose aucun problème réel de santé. Selon celles-ci, il ne pourrait causer que quelques problèmes d’allergies car il n’y aurait que de très petites quantités de thiomersal présentes dans les vaccins. Mais ce discours est difficilement défendable, car on connaît les problèmes de santé que peut causer le mercure même à petites doses.
Les autorités de santé expliquent également que de plus en plus de vaccins sont fabriqués aujourd’hui sans thiomersal. Cela démontre bien qu’il y a un réel problème de santé publique avec ce produit.
Le thiomersal doit figurer sur la notice du vaccin. Il ne s’agit dès lors pas d’un produit caché. Si vous voulez savoir si le vaccin que vous allez vous faire injecter contient du thiomersal, demandez à votre médecin s’il en contient ou lisez la notice d’emballage du vaccin.
Il y a lieu de préciser également que des nanoparticules de métaux lourds (plomb, zinc, titane, … ) ont été retrouvées il y a quelques années dans le vaccin Meningitec (vaccin contre la méningite C). Ce vaccin est suspecté d’avoir causé des troubles chez des enfants et des jeunes adultes. De tels faits sont inquiétants et ne vont certainement pas aider à redonner à la population confiance en la vaccination.
Comment se détoxifier des métaux lourds de manière naturelle ?
Il existe des algues, des plantes, des compléments alimentaires qui permettent de se détoxifier des métaux lourds et également des métaux lourds présents dans les vaccins. Si vous souffrez d’allergies, de migraines, d’électrosensibilité, de douleurs, de troubles de la concentration et que la médecine allopathique ou alternative n’a pas réussi à expliquer et soigner vos troubles, votre problème est peut-être lié à un trop plein de métaux lourds dans le corps.
Si vous êtes atteint de myofasciite à macrophages, il sera certainement plus difficile de vous guérir mais le traitement ci-dessous à base d’algues, de plantes et de compléments alimentaires pourra vous aider à retrouver une meilleure santé, car pour l’instant il n’existe pas de traitements médicamenteux. Ce traitement naturel reste à mon sens le plus efficace pour retrouver une meilleure santé.
Il est possible de se détoxifier des métaux lourds notamment par la prise de :
- la chlorella: une algue intéressante pour la détoxification des métaux lourds est la chlorella. Il s’agit d’une algue verte d’eau douce qui se retrouve dans le monde entier. Cette algue a pour vertu d’absorber de nombreux polluants présents dans l’environnement et dans les aliments que nous ingérons, comme par exemple les métaux lourds, les pesticides, les engrais chimiques. Cette algue permet d’aider l’organisme à éliminer les métaux lourds de manière naturelle.
- l’ail des ours : est une plante qui a une action assez similaire à la chlorella. mais elle va en plus particulièrement absorber et nettoyer les métaux lourds présents au niveau des reins et du sang.
- la coriandre : est une plante qui mobilise les métaux lourds présents dans le milieu intracellulaire et va jusqu’à absorber les métaux lourds présents dans les os et dans le système nerveux central.
- le chardon-marie : est une plante qui permet de réparer le foie très sollicité lorsque l’on effectue une détoxification des métaux lourds.
- l’Acide alpha lipoïque : est un puissant antioxydant qui a notamment la vertu de se lier aux métaux lourds présents dans les tissus du cerveau et qui contribue à les éliminer.
- Il sera également très important de prendre soin de son foie qui est très sollicité lorsque l’on effectue une détoxification des métaux lourds. Le foie a notamment comme fonction de dégrader les substances toxiques. Le foie est déjà très sollicité et la détoxification des métaux lourds va lui demander un surplus d’énergie.
C’est pour cette raison qu’il est indispensable de prendre soin de son foie. Le chardon-marie permet de réparer le foie pendant une cure de métaux lourds. D’autres plantes peuvent aider à améliorer la fonction du foie, comme le radis noir ou l’artichaut. Il sera également important de consommer une alimentation qui ne sollicite pas trop le foie, et donc d’éviter par exemple une alimentation raffinée, sucrée ou l’alcool.
Des nettoyages du foie, type Moritz ou Clark, peuvent être utiles si le foie est vraiment très fatigué. Il est cependant important avant d’entamer de tels nettoyages du foie, de demander conseil à un professionnel de santé.
- Il sera également très important d’apporter de bons nutriments et de bonnes vitamines car la détoxification des métaux lourds exige un surplus d’énergie pour pouvoir éliminer ces métaux.
- Il sera également important d’apporter suffisamment de fibres dans l’organisme afin que les métaux lourds ne stagnent pas dans les intestins.
Comment éliminer l’aluminium après la vaccination ?
Vous souhaitez effectuer certaines vaccinations et vous désirez éviter que l’aluminium des vaccins puisse causer des problèmes dans votre organisme. Il sera dès lors important de prendre de la chlorella une semaine avant et après la vaccination à dose modérée et prendre une forte dose le jour de la vaccination. Vous pouvez aussi prendre de l’ail des ours pendant cette même période.
Même si vous n’avez pour l’instant pas de problèmes de santé, un tel traitement peut être intéressant à prendre, car les symptômes liés à l’aluminium présent dans les vaccins peuvent apparaître souvent des mois, voire des années après la vaccination. En prenant de la chlorella et de l’ail des ours pendant quelques jours, voire quelques semaines lorsque vous effectuez un vaccin, vous aiderez votre corps à sortir l’aluminium plus rapidement et il y aura ainsi moins de risque que les métaux lourds stagnent à l’intérieur de votre corps.
Toxic story : le livre sur l’aluminium dans les vaccins
Le Pr. Romain Gherardi, neuropathologiste, a publié en 2016 le livre Toxic Story, qui met en lumière les dangers pour la santé des adjuvants aluminiques. Dans ce livre, le professeur relate la découverte du premier cas de myofasciite à macrophages et décrit la lutte qu’il a dû mener face aux autorités, aux politiques et aux médecins pour faire « reconnaître » cette nouvelle maladie.
Si vous êtes intéressé par la problématique des vaccins et si vous vous posez des questions sur l’innocuité de l’aluminium présent dans les vaccins, je vous conseille vivement de vous plonger dans cet excellent livre du Pr. Gherardi.
La découverte de la myofasciite à macrophages
Lors d’une réunion de neuropathologistes en 1993, une collègue du Pr. Gherardi présente le cas d’une femme de 56 ans qui se plaint de douleurs musculaires et articulaires et d’une grande fatigue. Une analyse de sang relève une élévation des enzymes musculaires et tout laisse à penser dès lors qu’il s’agit d’une affection musculaire.
Sur les images de la biopsie qui a été pratiquée apparaissent des macrophages (cellules immunitaires qui dévorent les intrus, comme les bactéries, les virus et les cellules mortes).
Mais ces macrophages ne démontrent rien de connu dans le cas présenté. Le Pr. Gherardi explique notamment ceci : « Lors d’une maladie musculaire, on les voit couramment au cœur des fibres mortes qu’ils mangent avec appétit afin de faire place nette. Leur besogne achevée, le tissu pourra se régénérer. Or, ici, rien de tel : les macrophages ne sont pas dans les fibres, quant à elles parfaitement intactes, mais agglutinés dans les espaces interstitiels, repoussant les autres structures. Pas de nécrose dans le muscle – mais les éboueurs sont là. Autre bizarrerie : ces inclusions denses dans les macrophages, formant des cristaux, qu’on distingue en microscopie électronique. En neuropathologie, il est courant d’en observer, avec une morphologie des plus variées, mais Michel Fardeau, grand spécialiste des myopathies à la Salpêtrière, exprime l’opinion générale : celles-ci ne lui évoquent a priori rien de connu. Des dépôts de calcium peut-être… (Toxic Story, Romain Gherardi, Actes Sud, p. 19 et 20) ».
En 1994, un cas qui ressemble beaucoup à celui présenté lors de la réunion de neuropathologistes, évoquée plus haut dans cet article, va être découvert à l’hôpital Henri Mondor à Paris. Un 3ème cas va être découvert également à l’hôpital Henri Mondor, puis un 4ème à la Salpêtrière et un 5ème à Marseille. En 2000, on compte 52 patients atteints de cette affection.
Les signes cliniques sont toujours les mêmes : douleurs articulaires et musculaires présentes dans le dos, dans les jambes, dans les bras, dans les poignets. Faiblesse musculaire qui transforme en épreuves les simples gestes du quotidien, comme s’habiller, faire la vaisselle, descendre un escalier. Et une très grosse fatigue qui va amener beaucoup de patients à interrompre leur activité professionnelle ou leurs études.
Les vaccins contiennent de l’aluminium
Le Pr. Gherardi décide de baptiser cette nouvelle affection la myofasciite à macrophages, soit étymologiquement : inflammation (-ite) du muscle (myo) et de ses enveloppes (fascias), à forte composante de macrophages.
C’est en 1998 que les médecins vont découvrir d’où viennent ces macrophages. C’est le centre d’études nucléaires de Bordeaux, qui a analysé plusieurs échantillons de muscles contenant les lésions suspectes, qui va apporter les réponses tant attendues par les médecins. Les résultats d’analyses de ce centre vont indiquer que les macrophages sont remplis d’aluminium.
Le Pr. Gherardi sait désormais que les muscles des personnes atteintes de myofasciite à macrophages contiennent de l’aluminium. Mais il se demande d’où peut bien provenir cet aluminium.
Le professeur constate que les patients atteints de myofasciite à macrophages n’ont pas eu d’exposition domestique ou professionnelle notable à l’aluminium. D’où vient dès lors cet aluminium ?
Le Pr. Gherardi va constater tout au long de ses recherches que 20% des patients atteints d’une myofasciite à macrophages souffrent depuis peu d’une maladie auto-immune, comme la sclérose en plaque (10%), la thyroïdite (3%), le syndrome de Sjögren, la polyarthrite rhumatoïde, des dermatomyosites et d’autres affections inflammatoires (7%).
Il y a donc chez certains de ces patients, la présence d’auto-anticorps, ce qui démontre un certain degré d’auto-immunité. Pour cette raison, le Dr. Gherardi décide en octobre 1998 d’acquérir la 2ème édition d’un monument de la littérature scientifique : the encyclopedia of Immunology d’Ivan M. Roitt et Peter J. Delves.
Dans cette encyclopédie, le médecin va chercher ce qui est indiqué sous la rubrique « aluminium ». Et là, il va découvrir que l’aluminium est utilisé, sous forme d’hydroxyde, comme adjuvant dans les vaccins.
Un adjuvant désigne tout composé qui agit de manière non spécifique pour augmenter l’immunité spécifique contre un antigène. Le Pr. Gherardi va se demander comment on est passé de « tout composé » à l’aluminium ?
Et il va découvrir qu’en 1926, Alexander Glenny, immunologiste, découvre les propriétés adjuvantes des sels d’aluminium. Et dès lors dès cette date, de l’aluminium va se retrouver dans les vaccins.
En 1998, la majorité des médecins ignoraient qu’il y avait de l’aluminium dans les vaccins
Le Pr. Gherardi avoue le fait qu’il ne savait pas que les vaccins contenaient de l’aluminium. Il se demande comment il a pu passer à côté d’une information si importante pour la santé des patients. Il se rassure en constatant, après avoir fait un petit tour d’horizon autour de lui, qu’aucun de ses collègues n’a eu vent de la présence d’adjuvants dans les vaccins humains, et encore moins d’adjuvants aluminiques.
Nous sommes pourtant en 1998 et des adjuvants aluminiques sont présents dans les vaccins depuis déjà plusieurs décennies. Nous avons dès lors obéi docilement à des médecins et à des autorités qui nous conseillaient vivement, voir nous obligeaient à nous vacciner. Pourtant ces derniers n’avaient même pas pris la peine de se renseigner sur les composés, potentiellement dangereux, que contenaient ces vaccins.
Une telle façon de faire et de procéder peut certainement expliquer pourquoi de plus en plus de personnes se méfient de la science et de la médecine et ont des interrogations légitimes sur l’innocuité des vaccins.
En pleine crise du covid, on entend de plus en plus de médecins venir sur les plateaux de télévision pour nous intimer de nous faire vacciner. Et lorsque certaines personnes indiquent qu’elles ne souhaitent pour l’instant pas se faire vacciner car elles jugent les études sur les effets secondaires potentielles des vaccins encore insuffisantes, elles sont vite taxées d’inconscientes ou de dangereuses par les personnes en charge de la vaccination.
Par exemple, on parle aujourd’hui beaucoup des vaccins avec messager ARN. Ils sont à mon sens très intéressants car ils ne contiennent pas d’adjuvants aluminiques.
Mais ils contiennent cependant des nanoparticules qui permettent d’encapsuler le messager ARN. On nous explique depuis de nombreuses années que les nanoparticules sont dangereuses pour la santé.
Pour rassurer les personnes qui s’interrogent sur l’innocuité de ces nanoparticules, les laboratoires qui fabriquent de tels vaccins nous expliquent que les nanoparticules seront évacuées naturellement par le corps quelques jours après l’injection, comme d’ailleurs l’ARN messager. Ces nanoparticules n’auront dès lors pas le temps de causer des dégâts dans le corps.
Mais a-t-on réellement fait des analyses qui démontrent de manière sûre que ces nanoparticules seront évacuées rapidement du corps ? Je pense que l’on est en droit de formuler de telles questions sans pour autant être traité de complotistes. Surtout que pour l’aluminium, pratiquement tous les spécialistes des vaccins nous disent que l’aluminium est évacué en quelques jours du corps, alors que le Pr. Gherardi a démontré par des analyses très sérieuses que cela n’est pas le cas.
La reconnaissance de la myofasciite à macrophages par les autorités : un combat compliqué
Le Pr. Gherardi va signaler sa découverte à l’Institut de veille sanitaire, puis être auditionné à l’OMS en septembre 1999.
Lors de son audition à l’OMS, le professeur va expliquer qu’il est certain que la myofasciite à macrophages est provoquée par l’adjuvant aluminique présent dans les vaccins. Après des analyses approfondies, il est aujourd’hui en mesure de démontrer que 100% des malades souffrant de myofasciite à macrophages ont reçu des vaccins contentant de l’aluminium au cours des 10 ans précédant leurs premiers symptômes cliniques.
Il a de plus confirmé ses observations avec des analyses faites sur des souris à qui il a injecté des vaccins contenant de l’aluminium. Cela a provoqué chez les souris des lésions de myofasciite à macrophages. Le lien de cause à effet entre les vaccins aluminiques et la lésion est donc aujourd’hui avéré selon le professeur.
Beaucoup de fabricants de vaccins et de médecins travaillant dans l’industrie pharmaceutiques et du vaccin étaient présents ce jour-là à l’OMS. Les observations du Pr. Gherardi n’étaient pas du goût de ces personnes et les contre-attaques n’ont pas mis longtemps à surgir.
Par exemple, un biologiste de chez Pateur-Mérieux va expliquer qu’il a pratiqué une même expérience sur des lapins avec des résultats beaucoup plus nuancés. Il explique que selon lui, la lésion commence à décroître au 30ème jour et qu’elle va disparaître complètement de la plupart des muscles injectés dans les 3 mois.
Mais peut-on vraiment croire la véracité de tels propos émanant d’un responsable d’une des firmes multinationales de vaccins les plus puissantes du monde? De plus, cette étude ne sera jamais publiée, secret professionnel oblige.
Lorsque le compte-rendu de cette réunion de l’OMS parut, le Pr. Gherardi fut très déçu par les conclusions qui étaient formulées. Le compte-rendu s’était en effet plus appuyé sur les dires et la foi de l’étude de Pasteur-Mérieux que sur les analyses du Pr. Gherardi. Pour cette raison, l’OMS qualifiait la lésion post-vaccinale de passagère.
L’OMS ne contestait cependant pas complètement les résultats du Pr. Gherardi. Elle jugeait en effet plausible que certains patients puissent avoir des difficultés à se débarrasser des adjuvants aluminiques. Elles préconisaient dès lors la continuation des recherches pour mieux définir la maladie afin d’identifier notamment plus clairement les symptômes spécifiques apparentés à cette maladie.
La myofasciite à macrophages et le syndrome de fatigue chronique
Le Pr. Gherardi constate que pratiquement tous les patients qui souffrent d’une myofasciite à macrophages ont comme effet secondaire un syndrome de fatigue chronique.
Le syndrome de fatigue chronique est aussi appelé encéphalomyélite myalgique (étymologiquement inflammation du cerveau et de la moelle épinière avec douleurs musculaires). Cette maladie est reconnue par l’OMS et est classée dans les maladies neurologiques.
Elle toucherait entre 0,2 à 2,6 % de la population des pays anglo-saxons. Il n’existe pas de telles statistiques en Europe.
Le Pr. Gherardi est persuadé qu’il existe un lien entre la vaccination contenant des sels d’aluminium et le syndrome de fatigue chronique. Les symptômes sont en effet très proches. Il souhaite dès lors investiguer dans ce sens et désire effectuer des recherches qui pourraient confirmer ses dires. Mais de telles recherches n’intéresseront malheureusement ni les autorités, ni les politiques, ni les médecins.
Le Pr. Gherardi ne comprend tout d’abord pas pourquoi personne ne veut faire de telles recherches. Le syndrome de fatigue chronique touche en effet beaucoup de personnes et représente un coût important pour la société.
Ces personnes ne sont en effet plus capables de travailler et c’est l’état qui doit les prendre en charge. Dès lors, s’il arrivait à démontrer que le syndrome de fatigue chronique est dû aux sels d’aluminium présents dans les vaccins, cela permettrait, en les supprimant des vaccins, d’éviter que de nouvelles personnes contractent un syndrome de fatigue chronique. Cela permettrait ainsi d’éviter à beaucoup de personnes une maladie très invalidante mais aussi d’économiser des fonds publics puisque le syndrome de fatigue chronique pourrait être éradiqué.
Mais le professeur va vite constater qu’il est très difficile de faire bouger les lignes quand on s’attaque aux vaccins. Il va aussi se rendre compte que les lobbies du vaccin ont infiltré le secteur médical, politique et gouvernemental et qu’il est très compliqué de s’attaquer à ces derniers.
S’attaquer au lobby des adjuvants aluminiques : un combat éprouvant
Le Pr. Gheradi mentionne dans son livre les nombreux liens d’intérêts qu’ont les politiques, les fonctionnaires gouvernementaux, les médecins avec l’industrie pharmaceutique et des vaccins. Il décrit également le manque de courage de ces personnes qui préfèrent souvent privilégier leurs carrières à la santé de la population.
Il décrit aussi un monde médical fait d’alliances, de jalousie et de jeux pouvoirs. Il pense par exemple que certains médecins ou professeurs sont du même avis que lui sur la question de l’aluminium présent dans les vaccins. Mais il explique que ceux-ci ne sont pas prêts à défendre leurs opinions s’ils ont plus à perdre qu’à gagner.
Le Pr. Gherardi a continué ses recherches et il a pu démontrer que le fait que certaines personnes sont plus fragilisées que d’autres par rapport à l’aluminium présent dans les vaccins pourrait s’expliquer par des raisons génétiques.
Le médecin souhaite dès lors pouvoir identifier les personnes présentant un risque génétique de présenter des effets secondaires graves après avoir effectué une vaccination avec de l’aluminium. Il estime dès lors que c’est à l’état de proposer des vaccins sans aluminium pour les personnes fragilisées par un tel adjuvant.
Le Pr. Gherardi précise encore ce qui suit : « Mais il nous semble profondément injuste que pour des considérations d’intérêts financiers, une partie des citoyens se voie imposer par l’Etat un acte médical qui la rendra malade sans qu’aucun effort ne soit entrepris pour mesurer, comprendre, prévenir et indemniser ce risque. La belle invention de Jenner, de Pasteur, a pour vocation de sauver, non de ruiner des vies » (Toxic story, Romain Gherardi, Actes Sud, p. 170 et 171).
Il termine son livre en appelant les autorités de santé à réagir par rapport à ce problème de santé publique. Il mentionne notamment ce qui suit : « J’en appelle aux ministres de la Santé : considérez avec prudence les certitudes du jour des experts. Elles se périment vite. Longtemps, la recherche française fut libre. Ligotée par l’impérieuse nécessité de trouver des financements, elle ne l’est plus. Ne fermez pas les perspectives de comprendre enfin les mécanismes des complications vaccinales. Subventionnez au contraire cette recherche dont dépend la réalisation de vaccins plus sûrs. A cette seule condition, vous réconcilierez la population avec ce qui doit être une des plus grandes avancées de la médecine : la vaccination (Toxic story, Romain Gherardi, Actes Sud, p. 180).
Aluminium dans les vaccins : mon témoignage
Vaccins d’enfance
Durant mon enfance, j’ai reçu tous les vaccins qui étaient recommandés à cette époque par les médecins. Il y a lieu d’admettre qu’à cette période, on ne se posait pas réellement de questions sur l’innocuité des vaccins. La grande majorité des parents faisaient dès lors vacciner leurs enfants sans pouvoir imaginer que des problèmes de santé pourraient apparaître après une vaccination.
Dans son livre, Toxic story, le Pr. Romain Gherardi explique qu’en 1998, il ne savait pas qu’il y avait des adjuvants dans les vaccins et encore moins des adjuvants aluminiques. Il précise aussi que tous les médecins qu’il côtoyait à cette époque ne savaient également pas que la plupart des vaccins contenaient de l’aluminium et du thiomersal (un dérivé de mercure). Dès lors, comment les parents et le grand public auraient pu savoir que les vaccins contenaient de l’aluminium si les médecins eux-mêmes n’étaient pas au courant ?
Les vaccins d’enfance et ma santé jusqu’à l’âge adulte
Je n’ai pas eu de problèmes de santé handicapants jusqu’à l’âge de 22 ans. J’avais le sentiment d’être souvent fatigué et de manquer parfois d’énergie, mais cela ne me posait pas réellement de problèmes. J’avais également souvent des maux de tête mais je parvenais à les faire passer rapidement en prenant une aspirine.
Des migraines fréquentes à l’âge adulte
A l’âge de 23 ans, j’ai commencé à avoir des migraines très fréquentes. Ces migraines étaient très handicapantes car aucun médicament ne les faisait passer. Elles arrivaient en général le matin en me levant et duraient toute la journée. Lorsque j’étais de repos, je restais en général couché dans le noir car cela me permettait de moins souffrir. Lorsque je devais travailler, je passais une journée très compliquée qui me mettait sur les rotules.
J’ai effectué toutes les analyses médicales afin de comprendre les raisons de la survenue de telles migraines. J’ai fait une IRM du cerveau, une ponction lombaire, des ultrasons du système digestif, des prises de sang, … Mais les médecins n’ont rien décelé de grave et m’ont indiqué que j’étais en bonne santé.
Migraines et médecine traditionnelle
En général, quand les médecins constatent que vous n’avez pas de problèmes de santé physiologiques et qu’ils ne peuvent dès lors pas expliquer vos douleurs, ils ont souvent tendance à vous dire que vos maux sont psychologiques ou psychosomatiques.
C’est en tous les cas ce qui s’est passé pour moi. Ils m’ont expliqué que les migraines étaient souvent liées à de l’anxiété, à du stress et qu’il fallait dès lors que j’apprenne à mieux gérer mes émotions pour diminuer la fréquence et l’intensité de mes migraines.
J’ai dès lors accepté de vivre avec ces migraines handicapantes car je n’avais pas d’autres choix possibles. Comme la médecine traditionnelle n’avait pas réellement de solutions pour me soigner de mes migraines, je me suis intéressé aux médecines alternatives.
Migraines et médecine alternative
J’ai notamment suivi des traitements de physiothérapie, d’ostéopathie, d’acupuncture, d’ayurveda, de kinésiologie, … Je n’ai malheureusement pas obtenu d’améliorations significatives en suivant de tels traitements. Mes migraines étaient en effet toujours fréquentes et handicapantes.
J’ai encore effectué un vaccin, le vaccin contre l’hépatite B, environs 2 ans après le début de mes migraines. A cette période, je ne me posais pas réellement de questions sur l’innocuité des vaccins. Je ne pensais pas réellement que des vaccins pouvaient causer des migraines ou d’autres problèmes de santé. C’est le dernier vaccin contant de l’aluminium que j’ai effectué.
Migraines et triptans
J’ai vécu quelques années sans avoir de traitements pouvant atténuer les douleurs liées à mes migraines. Par la suite, j’ai découvert les triptans qui sont des médicaments très forts, spécialement conçus pour les migraineux.
Au début, cela m’a changé la vie car 9 fois sur 10, les migraines disparaissaient 30 minutes après avoir pris un triptan. Je ne devais dès lors plus faire face à des migraines douloureuses. En revanche, j’étais un peu vaseux et avais du mal à me concentrer après avoir pris un tel médicament et j’étais relativement fatigué le jour qui suivait la prise d’un triptan.
Je me rendais compte que ce médicament était intéressant pour moi car il me permettait de soulager mes douleurs. Mais je souhaitais cependant ne pas devenir dépendant de ce médicament toute ma vie car j’étais conscient que sur le long terme il pourrait causer des dommages à mon organisme, notamment à mon foie ou mes reins.
Migraines et botox
Pour cette raison, j’ai eu recours à l’injection de toxine botulique (botox) dans la nuque afin de me soulager de mes migraines et de réduire aussi la prise de triptans. Le neurologue qui a procédé à ces injections m’a diagnostiqué en plus de mes migraines une dystonie cervicale (un tremblement de la nuque) qui est une maladie neurologique.
Le botox avait pour but de relâcher le muscle, de faire disparaître ce tremblement des muscles de la nuque et par la même occasion de diminuer l’intensité et la fréquence des migraines.
Ce neurologue m’a expliqué que la dystonie cervicale ne se soignait pas et que pour cette raison, je devrais me faire injecter de la toxine botulique tous les 3 mois tout au long de ma vie. J’ai décidé d’arrêter ce traitement car je ne supportais pas bien la toxine botulique et que j’avais des doutes sur l’innocuité d’un tel produit s’il nous était injecté sur une longue période.
J’ai donc décidé de continuer à chercher des outils et des techniques qui m’aideraient à améliorer ma santé. J’ai commencé ainsi à pratiquer le yoga, la méditation, la cohérence cardiaque, la préparation mentale, …
Électrosensibilité
Quelques années plus tard, j’ai commencé à me sentir mal dans des endroits où il y avait beaucoup de wifi. Je ressentais des douleurs, de la fatigue, des démangeaisons et surtout des problèmes cognitifs, comme des difficultés de concentration et de motivation.
C’était très handicapant dans ma vie personnelle mais également dans ma vie professionnelle car il n’y avait pas de traitements permettant de me soulager. J’ai à nouveau contacté des médecins qui m’ont dit que l’électrosmog ne pouvait pas causer des problèmes de santé et que les douleurs physiques et mentales invoquées étaient dûes à des problèmes d’anxiété ou de stress.
Cette réponse ne m’a pas convaincu et j’ai cherché de mon côté ce qui pouvait provoquer une telle sensibilité électromagnétique. Je ne comprenais en effet pas que la majorité des personnes ne ressentaient aucune douleur ou aucune gêne dans un endroit saturé d’ondes électromagnétiques alors que de mon côté, je me sentais « aggressé » par ces ondes.
C’est à ce moment-là que je me suis intéressé aux métaux lourds. Les spécialistes de cette question expliquent qu’un trop plein de métaux lourds dans le corps peut dérégler l’organisme lorsqu’il doit faire face à des champs électromagnétiques trop importants.
Détoxification naturelle des métaux lourds pour se guérir de l’électrosensibilité
Mais la plupart des traitements qui étaient proposés pour se détoxifier des métaux lourds étaient des chélations chimiques. Cela ne me convenait pas car ces traitements étaient tout sauf naturels et qu’en plus de sortir les métaux lourds du corps, ils sortaient également tous les minéraux, vitamines et oligo-éléments indispensables à une bonne santé.
J’ai découvert par la suite qu’il existait des traitements naturels, à base d’algues, de plantes, de compléments alimentaires qui permettent de faire sortir les métaux lourds du corps de manière naturelle.
J’ai donc décidé de suivre un tel traitement à base de chlorella, d’ail des ours, de coriandre, d’acide alpha-lipoïque, de chardon-marie, … J’ai également adopté une nutrition et une hygiène de vie permettant à mon foie de se régénérer.
Le foie est en effet l’organe chargé de détoxifier le corps des produits nocifs comme par exemple les métaux lourds. Pour cette raison, il est important de prendre soin de son foie lorsque l’on entame une détoxification des métaux lourds afin de ne pas le sursolliciter.
Ce traitement pour évacuer totalement les métaux lourds du corps a été long. Mais au bout de quelques mois déjà, j’ai ressenti une certaine amélioration.
Détoxification des métaux lourds : un traitement long mais très efficace
Après 2 ans de traitement, mes migraines ont complètement disparu. Le corps médical explique cependant que les migraines ne se soignent pas et qu’un migraineux devra vivre avec ses migraines toute sa vie. Il pourra selon lui seulement diminuer les crises avec des médicaments et une meilleure hygiène de vie.
La situation a été différente pour moi puisque j’ai réussi à me débarrasser complètement des migraines en me détoxifiant des métaux lourds et en adoptant une bonne alimentation et une bonne hygiène de vie.
Pour l’électrosensibilité, cela a été plus long. Après 2 ans, je sentais une réelle amélioration, mais j’étais encore gêné quand je me trouvais dans des endroits avec beaucoup de wifi.
J’ai donc continué à prendre ce traitement de détoxification des métaux lourds. J’ai en plus pris des compléments alimentaires me permettant de faire descendre mon taux d’histamine dans le corps car j’avais des difficultés à dégrader l’histamine. En faisant des recherches, j’ai constaté que je n’étais pas le seul dans un tel cas puisque beaucoup de personnes électrosensibles ont du mal à dégrader l’histamine. Le fait d’avoir pris de tels compléments alimentaires m’a permis d’être beaucoup moins sensible à l’environnement qui m’entourait. Je suspecte d’ailleurs les métaux lourds d’avoir causé cette intolérance à l’histamine.
J’ai également suivi des séances avec une thérapeute énergéticienne avec qui j’ai travaillé sur les différents traumas qui m’empêchaient d’être calme et serein au sein de mon environnement et dans notre monde saturé de stimuli. En me concentrant sur moi et en étant plus ancré, j’ai réussi à ne plus me soucier de l’extérieur et des éléments perturbateurs comme le wifi.
C’est dès lors après 3 ans de détoxification des métaux lourds que j’ai senti que mon corps était capable de supporter complètement l’électrosmog qui nous entoure et de me retrouver ainsi dans n’importe quel lieu, donc aussi dans des endroits saturés d’ondes wifi, sans me sentir agressé.
3 ans peut paraître long. Surtout si vous êtes vous-même électrosensible et que vous souhaitez entamer une détoxification des métaux lourds. Mais lorsque vous êtes électrosensible, cela signifie en général que les métaux lourds sont présents dans votre corps depuis de nombreuses années et qu’ils se sont introduits dans des endroits de votre corps où ils peuvent faire beaucoup de dégâts, comme par exemple les os et le cerveau.
Je précise également que le tremblement que j’avais dans la nuque (dystonie cervicale) a aussi complètement disparu après 3 ans de chélation naturelle des métaux lourds. Pourtant le neurologue que j’avais consulté m’avait expliqué que cette maladie ne se guérissait pas. J’ai donc réussi à me guérir de 2 maladies neurologiques (migraines et dystonie cervicale) qui ne se guérissent pas selon les médecins.
Je pense que si j’avais fait ce traitement il y a 20 ans, au moment où mon corps et mon esprit m’envoyaient les premiers signes d’alarme, j’aurais certainement pu me soigner et me guérir en 2-3 mois.
Pour cette raison, je n’encourage pas seulement les personnes qui ont des problèmes de santé à effectuer un tel traitement mais aussi les personnes qui souhaitent agir en prévention et éviter ainsi d’avoir des douleurs ou de tomber malade à l’avenir.
Vitamine D, métaux lourds et blessures liées au sport
J’ai eu plusieurs blessures suite à des chutes lors d’activités sportives. Je me suis notamment déchiré les ligaments de la cheville et je me suis cassé la clavicule. Ces 2 blessures sont apparues selon moi car j’avais une carence en vitamine D. Pourtant, je prenais des compléments alimentaires de vitamine D pour palier cette carence. Mais cela ne permettait pas de ramener la vitamine D dans mon corps a un niveau acceptable permettant aux os et aux ligaments de ne pas se briser à la moindre chute anodine.
La vitamine D est connue pour être importante pour les os. Mais elle est aussi importante pour les cartilages, pour les muscles et pour éviter la fatigue. Il est dès lors important de ne pas être en carence de vitamine D, spécialement si vous êtes sportif.
Ce que l’on sait moins, c’est que les métaux lourds, après avoir stagné dans le sang et dans les organes du corps, ont des facilités à s’incruster dans les os, dans les cartilages et dans les muscles. Dans un tel cas, la vitamine D n’arrive plus à se fixer dans les os, dans les muscles et dans les cartilages car les métaux lourds empêchent son assimilation. Il s’ensuit une carence et des blessures potentielles.
La grande majorité de la population est carencée en vitamine D et beaucoup prennent pour cette raison des compléments alimentaires de vitamine D. Ces compléments auront cependant beaucoup de difficultés à se fixer dans le corps, et dans les os en particulier, tant que vous ne vous serez pas détoxifié des métaux lourds.
Pour ma part, j’ai retrouvé un taux normal de vitamine D dans mon corps après m’être totalement détoxifié des métaux lourds. Je pense que j’aurais pu éviter ces blessures si cette détoxification avait été effectuée avant d’avoir subi ces chocs lors d’activités sportives.
Test de la myofasciite à macrophages
Ces métaux lourds qui m’ont rendu malade venaient certainement de l’aluminium et du thiomersal des vaccins, mais sûrement également des amalgames dentaires en mercure qui m’ont été posés pendant mon enfance (que je n’ai plus aujourd’hui), de l’alimentation que j’ai ingérée (notamment du poisson très chargé en mercure), de l’air respiré (contenant notamment du plomb), des pesticides ingérés qui contiennent des métaux lourds, ….
J’ai dès lors décidé de ne pas me faire tester pour la myofasciite à macrophages. Peut-être que j’aurais été testé positif, mais pas forcément. En effet, ce test permettant de découvrir si vous êtes atteint de la myofasciite à macrophages ne s’attache qu’à découvrir si vous avez de l’aluminium dans le bras (à l’endroit où vous avez reçu vos vaccins).
Selon moi, le fait de ne pas retrouver d’aluminium dans votre bras ne veut pas dire que vous n’en avez pas dans le cerveau ou ailleurs dans le corps ou que vous n’avez pas d’autres métaux lourds, comme du mercure, du plomb ou du cadmium dans votre corps. Dès lors, si j’avais eu un test négatif à la myofasciite à macrophages, je n’en aurais pas forcément conclu que je n’avais pas de métaux lourds dans le corps.
De plus, j’avais commencé mon traitement naturel de chélation des métaux lourds et je sentais que cette détoxification permettait à mon corps et à mon mental de retrouver de la force, de l’énergie et de la vitalité.
Une détoxification des métaux lourds et une bonne nutrition pour retrouver la santé
Je ne veux bien entendu pas prétendre qu’en vous détoxifiant des métaux lourds, il est possible d’éviter ou de se soigner de toutes les maladies. Il y a par exemple des maladies qui sont liées à des facteurs génétiques et qui sont dès lors difficilement évitables ou soignables.
Mais je pense vraiment que beaucoup de médecins et de responsables politiques sous-estiment les facteurs environnementaux dans l’apparition de beaucoup de maladies. En effet, le fait de se détoxifier des métaux lourds, d’adopter une nutrition saine et biologique (avec moins de pesticides), de pratiquer une activité sportive et de fortifier son corps et son mental par exemple avec des exercices de yoga, de méditation, de respiration, de préparation mentale permettent souvent de retrouver une bonne santé physique et mentale.
En tous les cas, cela a très bien fonctionné pour moi. Après m’être détoxifié des métaux lourds et avoir adopté une alimentation et une hygiène de vie saine, j’ai réussi à me guérir de mes migraines, de l’électrosensibilité et de ma dystonie cervicale. Cela m’a permis de retrouver beaucoup d’énergie, de force, de confiance et une très bonne santé physique et mentale.
Aujourd’hui, j’ai beaucoup de plaisir à aider d’autres personnes à se détoxifier des métaux lourds et à leur apprendre à adopter une alimentation et une hygiène de vie saines afin de retrouver leur santé comme je l’ai fait moi-même.
En résumé
L’aluminium des vaccins peut causer des troubles chez de nombreuses personnes et est même la cause d’une nouvelle maladie appelée la myofasciite à macrophages.
Il est donc important de prendre un traitement naturel pendant quelques jours lorsque vous vous faites vacciner ou sur un plus long terme si vous souhaitez vous détoxifier de manière plus globale.
Si vous souhaitez en savoir plus sur la maladie la myofasciite à macrophages, je vous invite à regarder le film, « l’aluminium, les vaccins et les 2 lapins » dont ont été tirées beaucoup d’informations pour rédiger cet article.
Si vous souhaitez vous faire accompagner pour une détoxification des métaux lourds et un coaching nutritionnel, vous pouvez me contacter par email contact@pmyearning.com
Je vous informe qu’il ne m’est pas possible de répondre aux emails généraux, notamment à des demandes de conseils généraux de personnes que je n’accompagne pas. Je ne peux en effet pas donner de recommandations sans avoir effectué une étude approfondie de votre situation personnelle et de santé.
Avertissement : les informations contenues dans cet article ne peuvent remplacer un avis médical éclairé. Dès lors, avant toute automédication, consultez un médecin qualifié.